Analyse financière adaptée aux daubasses (6bis)

L’excédent brut d’exploitation

 

Précédemment, nous vous avons expliqué pourquoi l’ebitda pouvait être utile pour vérifier la capacité des sociétés que nous avons en portefeuille à résister avec leurs ressources propres sans devoir faire appel à des tiers (banques ou actionnaires).

Nous avons évalué, « à la grosse louche » quel serait l’ebitda de nos entreprises pour l’année 2009. Et nous sommes arrivé à un ebitda négatif de 8 485 euros, soit plus de la moitié de notre investissement initial.

Nous vous voyons venir : « ça y est, ils sont ruinés » vous dites vous …

Peut-être pas tout-à-fait. Rappelez-vous cher lecteur : nos daubasses bénéficient, globalement d’une jolie petite tirelire, représentée par la trésorerie nette positive de 11 059 euros.

Autrement dit, nous avons de quoi « tenir » presque 16 mois avant que nos entreprises ne doivent faire appel aux banquiers pour financer leur cycle d’exploitation. Sera-ce suffisant pour attendre un retour à une meilleure fortune ? Rendez-vous à la mi 2010 et vous saurez alors si les adorateurs de Graham qui animent ce blog ont mis correctement en application les enseignements de leur idole …

 

ou s’il ne leur restera plus que leurs yeux pour pleurer…

2 réflexions au sujet de « Analyse financière adaptée aux daubasses (6bis) »

  1. Bonsoir l’equipe !

     » nous avons de quoi « tenir » presque 16 mois avant que nos entreprises ne doivent faire appel aux banquiers pour financer leur cycle d’exploitation »

    En prenant en compte amortissement, impots et taxes, cela reduit le temps avant de faire appel aux banqueir non ?

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