Question des lecteurs : pourquoi ne prenez-vous pas vos bénéfices, après un doublement du cours par exemple ?

En faisant une « fixette » sur son « PRU », l’investisseur lambda a tendance à encaisser ses plus-value rapidement et à conserver ses titres en moins value pendant de longues périodes. Cette manière de faire provient de la crainte de perdre ces fameuses plus-values … et c’est cette peur que nous voulons éviter.

C’est la raison pour laquelle nous ne prenons pas nos décisions de vente en fonction de notre prix d’achat. Nous tentons même de l’ignorer complètement.

En effet, afin d’éviter que nos émotions ne prennent le dessus sur le rationnel, nous nous fixons comme repère non pas le prix d’achat qui est totalement inutile, mais bien la valeur estimée maximale de la société.

Comme vous le savez cher lecteur, nous pensons pour notre part, que la valeur maximale d’une entreprise, à quelques exceptions près, est sa valeur d’actif net tangible (VANT). Ainsi, si le cours d’une société double mais que la juste valeur de la société se situe encore 200 % plus haut, pourquoi devrions nous la vendre ?

Est-il logique de vendre à un prix toujours bradé parce qu’on estime que « l’on a assez gagné comme ça ? » Et a contrario, est-il raisonnable de conserver un titre sur lequel nous perdons de l’argent si sa « vraie valeur » a baissé sous notre prix d’achat parce qu’on se dit « pas vendu, pas perdu » ?

Nous vous rappelons aussi que, si la VANT constitue bien ce que nous estimons être plus ou moins un juste prix, nous ne vendons pas nécessairement : comme nous l’expliquions ici, nous plaçons, une fois ce seuil atteint, un stop loss pour tenter de profiter des exagérations de Mr Market et, si possible, vendre au dessus de ce juste prix.

Pour notre part, nous tentons d’oublier, voir d’effacer de notre mémoire, le prix payé pour acquérir nos actions. Vendre quand Mr Market nous propose le juste prix de notre investissement nous semble l’approche la plus rationnelle et la plus sensée. Que cette vente génère un profit ou une perte ne devrait, selon nous,  pas influencer d’un iota la décision de l’investisseur.

28 réflexions au sujet de « Question des lecteurs : pourquoi ne prenez-vous pas vos bénéfices, après un doublement du cours par exemple ? »

  1. Nécessaire mise au point à mon avis. Tout le monde parle de ce qu’il faut acheter. Mais il est moins facile de trouver des conseils sur le moment et la stratégie de la vente.

    Finalement, acheter, c’est presque simple. Regarder monter son action de quelques points, c’est toujours simple. Mais réaliser un bon profit, c’est nettement plus tendu.

    Quand Peter Lynch nous parle de ces « 20 baggers », il nous fait saliver. Il nous dit qu’il est assez facile de choisir de bonnes actions. Mais il ne nous explique pas vraiment comment prendre ses gains et quand.
    Parce qu’en fait, pour réaliser un « 20 baggers », il faut être assez culotté et garder son action le temps nécessaire pour qu’elle fasse le grand saut vers le X20 ! Et là il faut soit des nerfs de joueur, soit une stratégie (La stratégie, ça permet de laisser l’ego, l’émotion et tout le toutim de côté normalement. Normalement…).

    Bref. Merci pour ce court et instructif article.
    Suprême. Comme d’hab.

  2. Cette stratégie a le mérite d’être simple et facile à exécuter.
    Ne plus regarder le prix d’achat : 100% d’accord !
    « Pas vendu, pas perdu » : un adage pour les perdants.
    La VANT comme repère utile : oui.
    Continuer au delà de la VANT pour profiter du biais momentum : excellente idée, qui n’appartient pas, me semble-t-il, à l’approche « value ».

    Ceci étant dit, la stratégie de vente mérite étude et débat. Elle est moins souvent abordée que l’achat et on peut raisonnablement penser que achat et vente sont pour 50% chacun dans la performance.

    Posons la question à l’envers. A l’approche de la VANT, est-ce que j’achèterais ce titre ? Probablement pas car il n’y a plus de marge de sécurité VANN/VANE/VCB.

    Ne serions nous pas tenter de céder ce titre pour en acheter un autre avec une grosse marge de sécurité et un plus gros potentiel de hausse ? Historiquement Ben Graham vendait quand son mégot de cigare prenait 50%, ce qui avait aussi le mérite d’être simple, mais n’était pas satisfaisant pour d’autres comme Warren Buffet.

    En outre, un titre qui double ou triple, c’est une ligne qui pèse plus lourd dans le portefeuille, alors que son potentiel décroît. Argument pour en céder une fraction ? Et arbitrer pour un autre titre…

    Le contexte peut aussi jouer. La crise de la dette n’a pas été résolue et je crains un nouveau crash, ce qui m’incite à vendre plus tôt et à acheter de la marge de sécurité ou rester cash.

    Reste me semble-t-il l’élément clé : le comportement d’une daubasse lors de son (éventuel) décollage. A partir du moment où le cours s’anime, que se passe-t-il ? Jusqu’où va-t-on en général ? En combien de temps ? Quelles étaient les stratégies respectives des grands noms de l’investissement value ?

    1. Bonjour Sinclair,

      C’est vrai que cette tentative de profiter de la tendauce haussière d’un titre au maximum et au delà de sa vraie valeur, nous ne l’avons lue chez aucun des grands de l’investissement « value ».

      « un titre qui double ou triple, c’est une ligne qui pèse plus lourd dans le portefeuille, alors que son potentiel décroît » ==> cette réflexion est effectivement intéressante.

      1. Vous y avez répondu ! Je voulais savoir si vous optiez pour une strategie un peu differente pour les valeurs cotees au double fixing (comme Gevelot par exemple) où l’on peut generalement placer ses ordres de maniere plus fine en etudiant le carnet dans les dernieres minutes.

        Mais sinon je rebondis sur la baisse de potentiel par rapport a votre methode d’une action qui flirterait l’actif net tangible : ne serait-il pas judicieux d’opter pour une sortie en plusieurs temps ?
        Par exemple sortir la moitie de la ligne une fois l’Actif net tangible atteint pour se renforcer sur des valeurs a plus grand potentiel ?

        1. Généralement, nous ne « chipotons » pas pour 1/2 ou 1 % : si nous voulons acheter une société ou si nous voulons la vendre, nous mettons le prix pour l’avoir en nous « règlant », sur le bid ou le ask le cas échéant. Les sorties étalées, pourquoi pas … ce serait à étudier mais en tenant compte du fait que dans ce cas, nous risquons de nous retrouver avec un nombre de lignes conséquent supplémentaire à suivre.

  3. Je suis d’accord avec tout ce qui a été dit, mais j’ai seulement un petit bémol à apporter sur la stratégie qui consiste à placer un stop loss sur une valeur montante qui a atteint son cours théorique de vente… En théorie, ca marche mais attention que certains valeurs sont très peu liquides, très volatiles et il y a un risque que l’action descende directement (une chute de 5-6% par exemple) sous le stop loss.

    1. Bla bla bla… et ca chipote encore et encore… Tout ce que je vois MOI, c’est un capital x5 et une technique hyper cadré qui ne laisse pas de places aux sentiments.

      Ca fonctionne diablement bien et certains cherchent encore la petite bête.

      1. Bonjour Dan,

        Merci pour vos encouragements. Notez cependant que la réussite de ces quelques mois ne doit pas nous empêcher de chercher en permanence à nous améliorer et à chercher à ne plus répéter des erreurs que nous avons commises (si si , nous en avons commises).

        Dans cette optique, les « critiques » de nos lecteurs ne peuvent que nous y aider.

        1. Justement, la performance ne serait-elle pas superieure, si, comme a lorigine, votre portefeuille etait investi sur des lignes a potentiel complet. Pourquoi ne pas ajouter une metrique supplementaire a votre portefeuille, afin d’estimer le potentiel chaque semaine ?

          Quand à Dan, votre abscence total de détachement me fait croire que vous prenez l’equipe des Daubasses pour des gourous !

      2. Bonsoir Dan,

        Je chipote peut-être mais je peux vous dire que je suis à 110% derrière l’équipe des Daubasses. Je suis abonné et cela fait maintenant 17 mois que je suis le blog tous les jours.

        Je ne voulais surtout pas remettre en cause la performance de l’équipe qui est juste exceptionnelle, je souhaitais simplement apporter mon humble avis, qui n’engage que moi, pour essayer de faire avancer le débat, et pourquoi pas, provoquer de l’émulsion.

  4. Je viens de le constater, mais c’est une evolution recente. On notera d’ailleurs que votre portefeuille perd bel et bien du potentiel. Et que l’entree au sein du portefeuille de nouveaux investisseurs vous a permis de redresser la barre.

    1. « On notera d’ailleurs que votre portefeuille perd bel et bien du potentiel » ==> Lorsque nous avons consitué notre portefeuille, le potentiel cours/VANT était de 350 %. Autrement dit, en investissant 100 euros dans le portefeuille, on acquérait en réalité 450 euros de VANT. Depuis, les bourses mondiales ont gagné 50 %. En faisant le même paralèlle, pour obtenir 450 euros de VANT, on doit à présent investir 50 % de plus soit 150 euros au lieu de 100. Et le rapport entre 150 et 450, c’est … 200 % soit le potentiel actuel. Autrement dit, si le potentiel a diminué, c’est plus en raison de la montée générale des cours qui a fait disparaître une partie des belles opportunités que d’un « money management » inadéquat.

      « Et que l’entree au sein du portefeuille de nouveaux investisseurs vous a permis de redresser la barre » ==> exact, si les capitaux frais n’avaient pas permis d’augmenter le potentiel du portefeuille, les « anciens » membres n’auraient pas autorisé cet apport.

  5. Une métrique qui pourrait être ajoutée, c’est le potentiel des (par exemple 10) meilleures daubasses qui ne sont pas encore en portefeuille.

    Ces titres seraient bien entendu masqués pour que vous en gardiez la primeur.

    En n’oubliant pas que le coût d’arbitrage entre deux lignes est assez élevé du fait de la faible liquidité, du spread de cours élevé, de frais notables et de délais aléatoires pour vendre une ligne puis acheter l’autre.

    Comme vous êtes investi à quasi 100%, il doit arriver que vous découvriez une pépite et que vous deviez attendre qu’un titre veuille bien casser son seuil de vente pour en acheter. Dans la période récente de hausse furieuse et de recovery spectaculaire, pas de souci, car la rotation était élevée. Dans une période plus calme ou plus dépressive, c’est une autre histoire.

    Il y a aussi peut-être un biais du fait que le portefeuille daubasse n’est pas votre portefeuille unique et que vous avez la possibilité de capter les pépites dans vos portefeuilles personnels…

    1. Exact Sinclair,

      Le portefeuille du club est surtout un « laboratoire » qui permet de tester en réel cette approche, et ce, dans le respect des statuts du club qui permettent de concilier des avis qui pourraient parfois diverger sur les décisions d’investissement ou de désinvestissement. Ce laboratoire nous sert de base pour construire nos propres portefeuilles mais avec, pour chacun, un autonomie de gestion cette fois et une philosophie qui peut différer en fonction des objectifs individuels et tempéraments spécifiques de chacun d’entre nous.

    1. Bonjour à tous,

      Débat très intéressant, en effet, merci à tout les intervenants.

      Pour revenir sur quelques points soulevés.

      Au sujet des Stop Loss. Au départ du portefeuille, notre idée sur les Stop Loss était de profiter d’une hausse au-delà de la valeur de sa VANT que nous considérons comme un juste prix pour une Daubasse. En théorie, nous voulions accompagner cette hausse éventuel autant de temps que cela durerait……..En pratique, nous n’y sommes jamais parvenu…….comme nous nous l’imaginions, avec un cours qui grimpe doucement pendant des mois et un stop suiveur. De manière général, une bonne nouvelle sur une « Daubasse » propulse le cours très vite, très haut……Et cela se compte parfois en heure, voir au maximum en quelques jours…….Et c’est très souvent, un excès à la hausse, qui fait pendant a l’excès à la baisse qui nous a permis d’acheter……Le cours est donc déjà bien plus haut que sa VANT quand nous mettons le stop et il est aussi très vite enfoncé, sur un reflux … du à ce soudain excès a la hausse……

      Ce Stop Loss dans notre stratégie globale est donc seulement, un petit plus, rassurant, mais en aucun cas un point incontournable.

      Au sujet de la vente avant que le cours n’ai dépassé la VANT de la société, parce que le potentiel est moins intéressant. IL faut quand même lire au-delà du potentiel exprimé en %. Prenons un exemple simple.

      Nous achetons une société à 10€ et sa VANT est de 40€…..Le potentiel est de 300%
      Le cours s’apprécie à 30€, soit un rendement de 200%, à ce cours de 30€ le potentiel affiché sur nos tableaux est de 33.33%…….!

      Si a ce stade vous considérez que toute les sociétés en liste au-dessus d’un potentiel de 33..33% sont plus intéressante que la société qui s’est déjà appréciée de 200% ce n’est pas nécessairement juste, car il reste 33.33% du potentiel initial de 300%, soit 100% du prix d’achat de 10€.

      Pour un nouvel investissement de 10 €, un potentiel plus attrayant doit donc se situer au-dessus de 100% et pas au-dessus de 33.33%.

      Fixer donc un % d’appréciation à partir duquel on allège la position et qui serait le même pour toute les « Daubasses », nous semble donc délicat. Car vous l’aurez compris, il y a une différence énorme entre une Daubasse qui à un potentiel de départ de 100% et qui affiche un rendement de 70% à un certain moment et une autre Daubasse qui a un potentiel de 300% au départ et qui affiche un rendement à certain moment de 200%.

      1. « Nous achetons une société à 10€ et sa VANT est de 40€…..Le potentiel est de 300%
        Le cours s’apprécie à 30€, soit un rendement de 200%, à ce cours de 30€ le potentiel affiché sur nos tableaux est de 33.33%…….!

        Si a ce stade vous considérez que toute les sociétés en liste au-dessus d’un potentiel de 33..33% sont plus intéressante que la société qui s’est déjà appréciée de 200% ce n’est pas nécessairement juste, car il reste 33.33% du potentiel initial de 300%, soit 100% du prix d’achat de 10€.

        Pour un nouvel investissement de 10 €, un potentiel plus attrayant doit donc se situer au-dessus de 100% et pas au-dessus de 33.33%. »

        Euh, il me semble que ce raisonnement n’est pas correct. Il convient de négliger le prix d’achat, comme vous l’avez vous même si justement dit. Et le nouvel investissement serait de 30 € et non pas 10 €. En l’occurence, 33% serait bien la valeur clé pour l’arbitrage. Non ?

        1. Sinclair,

          bonjour

          Effectivement notre raisonnement n’est théoriquement pas correct, par rapport à l’article et a vos réflexions, et nous nous excusons pour ce qui semble un « caffouillage », mais qui arrive parfois quand deux membres de l’équipe tentent d’apporter leurs points de vue.

          Ce que nous voulions effectivement préciser….C’est en fait que le statut de notre club, nous oblige a des positions de maximum 3.33% de la somme total du portefeuille……..Avec notre exemple d’une société achetée à 10€ et qui s’est appréciée à 30€ et que nous déciderions de vendre pour réinvestir, sur des sociétés plus décotées et donc au meilleur potentiel, il faudrait donc pour investir ces 30€, sur une seule société, que le portefeuille dans son ensemble se soit apprécié de 200%….Sinon, nous devons donc trouver 2 voire trois sociétés avec un potentiel plus important et réinvestir 10€ sur chaque société. Et c’est dans la pratique ce qui se passe réellement.

          Le problème qui pourrait alors se poser, en cas de multiplication de ces rotations, c’est que nous pourrions ne pas trouver de candidats avec des potentiels plus importants dans nos listes. D’autant plus que les fortes poussée des cours, qui arrivent à certain moment, nous obligeraient d’un côté à vendre des sociétés avec des potentiel moins important, mais de l’autre, le potentiel de nos sociétés en liste, diminuerait également.

          C’est donc un possible problème technique qui pourrait se poser. Même si jusqu’à présent, vu le nombre de société en listes, ce problème ne s’est pas encore posé.

          Mais nous le répétons, vous avez entièrement raison, sur les arguments théoriques que vous avez avancé.

          1. « qui arrive parfois quand deux membres de l’équipe tentent d’apporter leurs points de vue »

            Je me demandais aussi combien d’entre vous intervenaient sous le pseudo « L’équipe » :))

            « C’est en fait que le statut de notre club, nous oblige a des positions de maximum 3.33% de la somme total du portefeuille »

            Oui, les contraintes extérieures amènent à des actions sous optimales par rapport à un absolu mathématique. La fiscalité est aussi une incitation à conserver des titres plutôt que d’arbitrer, ce qui amène à des stratégies différentes entre mon PEA et mon compte titres.

  6. Je vous suis à 100% sur votre raisonnement. On vends souvent trop tôt les valeurs en hausse. On lâche ainsi une superbe valeur en portefeuille après une petite hausse (10%) qui va continuer son ascension. Par contre on vends souvent trop tard les valeurs en baisse … Je sais car j’ai commis ces erreurs.

    Pour information j’ai acheté des titres Altamir à 2,01 euros en moyenne en 2008/2009 et je les détiens toujours (+245%). J’y crois encore car l’ANR est à 11,59 euros alors que le titre cote 6,92 euros et ait une belle valeur. Je conserve même si le potentiel de hausse est moindre. Et j’ai commis un erreur sur Rio Tinto alors que j’avais un fort sentiment haussier mais que je n’ai pas tenu ma position me contentant de 10% alors qu’elle allait en fait 60%.

    En cas de doute dans un portefeuille de valeurs sous-évalués, si on craint un retournement de marché, il vaut mieux prendre un tracker bear ou équivalent mais ne pas vendre son portefeuille car ça fait des frais, on se prive des dividendes et on ne peut prédire le marché.

      1. Un turbo ne rentre pas dans un PEA contrairement à un tracker bear et vu le taux d’imposition hors PEA je déconseille !

        Quand au phénomène de béta slippage il est plus marqué sur les tracker bear à effet de levier x2 (BX4 par exemple) que sur un simple tracker bear. J’avais du BX4 un moment mais j’ai laissé tomber à cause de ça.

  7. Ya quelquechose qui me gene dans le raisonnement mais je narrive pas a mettre le doigt dessus :
    –> vous n’optimisez pas vos ordres de sortie car vous n’etes pas a 2% pres.
    –> vous cherchez a optimiser le potentiel de votre portefeuille car c’est la que reside la vraie valeur de vos lignes.
    –> vous achetez des options dont l’esperance de gains est bien en dessous du potentiel moyen de votre portefeuille.

    Tou cela decoule-t-il du fait que votre portefeuille soit un laboratoire ?

    1. Bonjour Laurent,

      « vous n’optimisez pas vos ordres de sortie car vous n’etes pas a 2% pres. » : heu … c’est l’inverse : nous tentons d’optimiser la sortie en accompagnant la hausse de « stops suiveurs »

      « vous cherchez a optimiser le potentiel de votre portefeuille car c’est la que reside la vraie valeur de vos lignes. » : oui … mais nous n’avons pas compris la question.

      « vous achetez des options dont l’esperance de gains est bien en dessous du potentiel moyen de votre portefeuille. » : en réalité, nous émettons des options lorsque le rapport « rendement potentiel/risque » nous semble supérieur à d’autres alternatives en actions. C’est aussi une manière de dynamiser du cash lorsque nous manquons d’idées d’investissement

      « Tou cela decoule-t-il du fait que votre portefeuille soit un laboratoire ? » pas uniquement comme expliqué ci-dessus mais un petit peu quand même.

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