Portefeuille au 9 Août 2013 : 4 ans 259 jours

  • Portefeuille : VL 6,6078 € (Frais de courtage et de change inclus)
  • Rendement Total : 554,02%
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  • Potentiel Estimé VANT / Cours 110,71%
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  • Rendement Annualisé : 49,00%
  • Rendement 2013 : 14,87%
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  • Rendement 2012 : 24,19%
  • Rendement 2011 : -15,65%
  • Rendement 2010 : 38,07%
  • Rendement 2009 : 308,74%
  • Taux de Rotation Annualisé : 18,75%
  • Effet Devise Total : 1,08%

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  • Tracker ETF Lyxor MSCI World : VL 117,4687 € (Frais de courtage inclus et dividende réinvesti)
  • Rendement Total : 75,20%
  • Rendement Annualisé : 12,64%
  • Rendement 2013 : 14,39%
  • Rendement 2012 : 11,20%
  • Rendement 2011 : -8,22%
  • Rendement 2010 : 18,76%
  • Rendement 2009 : 30,34%

 

* Nous rappelons que ce portefeuille est un investissement réel

 

 

Performance mensuelle du portefeuille depuis sa création

 

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Détails du Portefeuille

 

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Flash-back estival (3e épisode)

En cette période de douceur estivale, l’équipe des daubasses prend un peu de repos bien mérité.gagner de l'argent en dormant

Certes, entre barbecue et farniente, nous poursuivons notre traque incessante des plus belles daubasses.

Pour la partie rédactionnelle du blog, nous avons plongé en apnée dans nos archives afin de vous proposer, cher( e) lecteur(trice), quelques anciens éditos de notre lettre mensuelle tels que nos abonnés ont pu les découvrir à l’époque.

Aujourd’hui, Nous vous proposons un petit « flash-back » au travers de l’édito de notre lettre de septembre 2011.

Souvenez-vous : c’était il y a seulement deux ans.  A l’époque, la crise de l’euro faisait rage et le CAC avait presqu’atteint un point bas et se situait près de 1 000 points sous son niveau actuel.

Des affaires en or ? …

Dans notre précédente lettre, nous avions souligné l’importance des liquidités détenues par les sociétés cotées.

Nous avions écrit, entre autres élucubrations, ceci : « l’augmentation de l’endettement des pouvoirs publics a permis… la diminution de l’endettement des particuliers et la constitution de grosses cagnottes dans les entreprises, grosses cagnottes qui, tôt ou tard, seront réinjectées sur les marchés des capitaux que ce soit par le rachat de concurrents ou d’actions propres, la distribution de plantureux dividendes ou… tout simplement, pour rembourser des dettes. »

Et peu après, nous apprenions, en vrac, une offre de rachat de Transatlantic par Berkshire Hataway ainsi que la souscription par le conglomérat de l’oracle d’Omaha à des actions préférentielles de Bank Of America, mais aussi le rachat de Cable Operation Insight Communication par Time Warner et celui de Aker Drilling par Transocean. Enfin, last but not least, Google dénouait les cordons de sa plantureuse bourse pour s’offrir Motorola (on avait presque oublié qu’elle existait encore celle-là).

Et dans un autre style, plus près de chez nous, nous avons remarqué des rachats d’actions importants dont le plus impressionnant est celui de Bouygues qui rachète 11 % de son propre capital.

Ami(e) lecteur(trice), nous n’avons pas l’intention de mettre en avant notre extraordinaire don divinatoire. D’ailleurs, pour tout vous avouer, la survenue de ces évènements ne nous a été d’aucune utilité. Mais ils mettent deux points en exergue : d’une part, les sociétés cotées détiennent bien d’abondantes liquidités (mais cela, nous le savions déjà) et, surtout, d’autre part, nous pensons que si les directions des sociétés acquéreuses déposent des petits pactoles sur la table des négociations pour ajouter des petits bouts d’entreprises à leurs propres entreprises, ce n’est certainement pas parce qu’elles les trouvent chèrement valorisées. Il est d’ailleurs symptomatique de constater que ces opérations se font, pour la plupart, en monnaie sonnante et trébuchante et non, comme c’est souvent le cas en période de marché « euphorique », par échange d’actions.

Bien sûr, vous nous connaissez, cher(e) lecteur(trice) : nous n’allons pas vous annoncer que nous avons touché un point bas ou que le marché ne peut que monter. Non, le marché peut descendre très bas lorsqu’il souffre de maniaco-dépression aiguë mais nous continuons à penser que sur le long terme, des actions de sociétés financièrement solides et achetées en solde constituent le meilleur des placements.

Et c’est ce que nous continuons à faire, que ce soit pour le portefeuille du club (nous sommes malheureusement « full invested » pour l’instant) ou au sein de nos portefeuilles personnels pour lesquels nous avons effectué quelques emplettes : ainsi, nous sommes retournés vers une vieille connaissance active dans la promotion immobilière (dont vous trouverez l’analyse en page 21). Certains d’entre nous ont également acheté une autre société, une réelle daubasse présentant un rapport risque/rendement qui nous paraît vraiment intéressant (dont vous trouverez l’analyse en page 25). Ces deux sociétés sont, cerise sur le gâteau pour nos abonnés français, éligibles au PEA.

investir dans les mines d'or

 

Enfin, nous avons investi sur l’or… ou plutôt sur des sociétés profitant de la hausse de l’or.

Disons de suite pour rassurer nos abonnés que nous n’avons pas succombé à la mode « goldique » … bien loin de là. Les sociétés sur lesquelles nous avons investi sont d’authentiques daubasses et, bien plus que leur secteur d’activité, c’est le prix d’aubaine auquel elles sont proposées qui nous intéresse.

 

 

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Portefeuille au 2 Août 2013 : 4 ans 252 jours

  • Portefeuille : VL 6,6477 € (Frais de courtage et de change inclus)
  • Rendement Total : 557,97%
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  • Potentiel Estimé VANT / Cours 113,78%
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  • Rendement Annualisé : 49,43%
  • Rendement 2013 : 15,57%
  • .
  • Rendement 2012 : 24,19%
  • Rendement 2011 : -15,65%
  • Rendement 2010 : 38,07%
  • Rendement 2009 : 308,74%
  • Taux de Rotation Annualisé : 18,75%
  • Effet Devise Total : 1,52%

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  • Tracker ETF Lyxor MSCI World : VL 117,2453 € (Frais de courtage inclus et dividende réinvesti)
  • Rendement Total : 74,86%
  • Rendement Annualisé : 12,65%
  • Rendement 2013 : 14,17%
  • Rendement 2012 : 11,20%
  • Rendement 2011 : -8,22%
  • Rendement 2010 : 18,76%
  • Rendement 2009 : 30,34%

 

* Nous rappelons que ce portefeuille est un investissement réel

 

Performance mensuelle du portefeuille depuis sa création

 

4-Portefeuille-devenir rentier-berkshire-top invest

 

 

Détails du Portefeuille

 

1-Portefeuille-valeurs-décotées-net-net-Buffett-Graham

2-Portefeuille-Schloss-value-netcav-millionaire

3-Portefeuille-affaire-gagner en bourse-s'enrichir

 

 

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Flash Back estival (2e épisode)

trève boursière

En cette période de douceur estivale, l’équipe des daubasses prend un peu de repos bien mérité.

Certes, entre barbecue et farniente, nous poursuivons notre traque incessante des plus belles daubasses.

Pour la partie rédactionnelle du blog, nous avons plongé en apnée dans nos archives afin de vous proposer, cher( e) lecteur(trice), quelques anciens éditos de notre lettre mensuelle tels que nos abonnés ont pu les découvrir à l’époque.

Aujourd’hui, après l’édito de notre lettre de juin 2011 que nous vous présentions la semaine dernière, c’est au travers de  celui de début août 2011 que nous vous proposons un petit « flash-back ».  Souvenez-vous … deux ans déjà : à l’époque, la crise de la zone euro faisait rage, le CAC avait perdu plus de 20 % en un peu plus de 3 mois et, par-dessus le marché, à la crise des « pays périphériques » de la zone euro se couplait une crise « du plafond de la dette aux USA ».  Bref, on ne semblait pas « sorti de l’auberge ».

 

Enfin!

Il était temps. La hausse métronomique des marchés depuis mars 2009 commençait à nous exaspérer dans l’Equipe des Daubasses.

Heureusement, le « je te tiens par la barbichette » joué par Barack Obama et les républicains, ainsi que la belle solidarité européenne qui consiste à endetter tout le monde… pour remédier à l’endettement des pays du club Med, sont venus mettre un peu d’ambiance dans les salles de trading. Sans oublier l’abaissement du rating de la dette US survenue vendredi dernier et qui en a surpris plus d’un.

plafond de la dette us

Certes, à l’heure où nous écrivons ces lignes, ce n’est pas encore les soldes mais nous espérons dans les semaines qui viennent pouvoir découvrir de nouvelles opportunités. L’un de nos abonnés nous a d’ailleurs soufflé une idée dans l’oreille qui semble bien attrayante et sur laquelle nous reviendrons dans une prochaine lettre après analyse approfondie. Ben oui, on est comme ça chez les Daubasses : si nous copions une idée sur l’un de nos petits camarades, nous n’hésitons pas à le dire.

En attendant, nous avons fait nos emplettes ces derniers jours : après les achats du mois écoulés dont nous vous avions fait part, le portefeuille du club est « full invested ». Et si la chute continuait ? Pas de panique cher abonné, si les super z’opportunités que nous avons connues fin 2008 venaient à se représenter, nous procéderions sans tarder à une augmentation de capital afin de garnir notre gibecière de belles daubasses grasses et dodues.

Pour notre part, ce qui nous impressionne sur le marché actuel, ce n’est pas une quelconque considération macro-économique dont vous savez qu’en tant que « liquidités dans les entreprisesdaubassiens convaincus » nous ne nous soucions guère mais bien la quantité de cash détenus généralement par les entreprises cotées. Nous avons ainsi appris qu’entre 2002 et 2010, la part de cash dans le total du bilan des entreprises américaines a presque doublé, passant de 4 à 7,5 % (source : lettre Vernimmen avril 2011) et quand on voit le cash détenu par les grandes technos, il y a de quoi être impressionné. Par exemple, le cash détenu par Apple est supérieur à la capitalisation boursière de Renault et Peugeot cumulée. Quant à Microsoft (quand donc vont-ils acheter Nokia ceux-là ?), c’est carrément BNP Paribas qu’ils pourraient s’offrir avec le solde de leur compte en banque.

Ainsi donc, si la plupart des états situés de part et d’autre de l’Atlantique sont exsangues, il n’en va pas de même pour un grand nombre de sociétés qui ont accumulé pas mal de cash depuis la crise de 2007-2008 en même temps qu’elles ont restructuré et optimalisé leurs activités.

Parmi nos sociétés, et dans une moindre mesure évidemment, il existe pas mal de belles tirelires également : 9 des sociétés de notre portefeuille disposent de liquidités suffisantes pour couvrir l’entièreté de leur passif, dettes d’exploitation incluses.

Tout ceci pour dire, cher abonné, que si l’environnement macro-économique que nous connaissons pour l’instant aura bel et bien un impact sur la marche générale des affaires, nous pensons aussi que tout n’est pas noir et, par un subtil phénomène de vases communicants, nous ne pouvons que constater que l’augmentation de l’endettement des pouvoirs publics a permis… la diminution de l’endettement des particuliers et la constitution de grosses cagnottes dans les entreprises, grosses cagnottes qui, tôt ou tard, seront réinjectées sur les marchés des capitaux que ce soit par le rachat de concurrents ou d’actions propres, la distribution de plantureux dividendes ou… tout simplement, pour rembourser des dettes.

Bref, pour paraphraser Jean Lefèbvre : « oui la situation est grave mais pas désespérée » et contrairement à Nouriel « Appocalypse » Roubini, nous osons dire : « non, nous n’allons pas tous mourir… du moins pas tout de suite »…

crise de l'euro