Souvenez-vous, ami(e) lecteur(trice) : la crise de la zone euro, début 2012, avait été pour nous l’occasion de lancer une traque à l’Italienne et nous avions, durant le mois de janvier de cette année-là, procédé à 3 achats d’actions de sociétés issue de la botte transalpine.
Sur ce blog, nous avons déjà démasqué Benetton qui a généré une plus-value « express » de 53% en un mois à peine. Aujourd’hui, c’est le producteur de carrelage Ricchetti que nous vous présentons.
Ici aussi, la ligne a été vendue avec une plus-value de +83,5% cette fois. En réalité, nous l’avons cédée pour une simple raison : la structure du bilan ne répondait plus à notre critère de solvabilité, celle-ci étant passée largement sous les 40% que nous exigeons de nos entreprises. Malgré cette dégradation, l’opération se solde par un bénéfice : la preuve, une fois de plus, que si l’acquisition se fait en prenant des marges de sécurité considérables, il y a moyen, même si les choses « ne tournent pas bien », de préserver son capital.
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