Archives de catégorie : Ecomérages

La vie au quotidien : un process comme un autre

Vous le savez cher(e) lecteur(trice), nous sommes dans notre approche d’investissement des adeptes du respect d’un process car nous pensons qu’il permet de contrer de nombreux biais psychologiques de l’investisseur. Ce concept carré, presque obtus diront certains, de notre philosophie concernant la gestion de nos actifs peut parfois paraître quelque peu cloisonné. L’application de ce processus est l’aboutissement d’une volonté d’amélioration, le souhait de structurer une idée, et découper le tout en mots, en phrases, en outils, en limites n’a pour objet que de nous permettre d’obtenir un rendement optimisé. Ce désir de vouloir trouver une technique n’est pas nouveau.

Benjamin FranklinEn effet, à la lecture de l’ouvrage autobiographique de Benjamin Franklin Avis nécessaire à ceux qui veulent devenir riches sous-titré Mémoires et propos au fondement de l’Amérique marchande, nous apprenons que l’un des plus illustres personnages de notre histoire contemporaine a tenté de « processer » sa vie dans un objectif de performance optimale. Continuer la lecture de La vie au quotidien : un process comme un autre

Ecomérage : La France, nouveau paradis fiscal de l’entreprise

investir en bourseLa France, au-delà de son aspect gastronomique, culturel, touristique, de toutes ses facettes attrayantes, est désormais un pays également devenu célèbre pour son niveau de fiscalité comme étant l’un des plus coercitifs au niveau mondial (caractéristique partagée avec la Belgique, les patries respectives des membres des daubasses se situant toutes deux dans le top 5 mondial des prélèvements par la force publique). Le 26 août dernier, c’est Bruxelles qui s’en mêle via le commissaire européen aux affaires étrangères, le finlandais Olli Rehn, qui a tiré la sonnette d’alarme : « Les hausses d’impôts en France ont atteint un seuil fatidique ». Ou encore : « Lever de nouvelles taxes aurait pour effet de casser la croissance et de peser sur l’emploi. La discipline budgétaire doit passer par une baisse des dépenses publiques et non par de nouveaux impôts ». Et ce ne sont pas les « bonnets rouges » bretons qui contrediront (pour une fois ?) Bruxelles.

Que cela soit au niveau de toutes sortes de taxes comme d’impôts, pour le particulier comme pour les entreprises, il semble que l’ensemble des acteurs économiques français soient submergés par un tsunami fiscal. Ce qui va principalement nous intéresser en tant qu’investisseurs, ce sont les traitements de la fiscalité de nos biens, c’est-à-dire le sort que réserve le fisc français à nos entreprises : celles dont le siège social est localisé en France. Au-delà des usines à gaz construites de toute pièces par des ENArques pour justifier des postes de cadres afin de diriger une armée de fonctionnaires engagés dans la bataille du contrôle de la bonne perception de tous les prélèvements taxes et impôts mais aussi de la conformité de toutes les subventions et aides diverses versées pour ne pas trop alourdir les agents économiques (cherchez l’erreur…), il nous a semblé important de préciser quelques points importants.

En effet, avec nos 10 sociétés françaises au sein de notre portefeuille représentant environ 15% de nos avoirs, nous sommes directement concernés par ce qui peut se passer sur le territoire français. Les différents gouvernements successifs, après avoir assommés au fil des ans les seuls agents économiques qui avaient les épaules assez solides pour supporter un effort toujours supplémentaire, ont mis en place d’incroyables niches qui viennent alléger les charges fiscales des entreprises. Entreprises qui essaient par ailleurs de se mesurer aux meilleures dans un marché globalisé où seules les plus performantes prospèrent et subsisteront à long terme. Pour le plus grand bonheur des actionnaires, bien évidemment, mais aussi de toutes les parties prenantes : salariés, fournisseurs, collectivités locales et État. Mais ceci est un autre débat…

complexité fiscale

Bref, notre rôle n’est pas de vous prouver que la création de la valeur au niveau microéconomique crée de la valeur pour la société dans sa globalité au niveau macroéconomique. Mais nous pensons qu’un pays, qui pendant des années, continue de voir son tissu économique péricliter avec un des niveaux de marges les plus faibles d’Europe, ne pourra concourir sur le marché mondial indéfiniment et sera voué à vivre des périodes économiques parmi les plus moroses de l’histoire. impôt et bourseHeureusement, dans un sursaut d’étincelles, deux principales mesures, que nous allons vous présenter, ont été promulguées, et sont à nos yeux, de véritables boosters fiscaux. Ils ont été mis en places pour attirer les capitaux (éviter leurs fuites ?) sur le territoire français. En effet, si facialement, le taux d’imposition des sociétés est théoriquement de 33,33% en France (et même, depuis peu, 38 % pour les « grandes » entreprises »), à travers des niches fiscales, il est possible de le réduire fortement et de motiver les managements à prendre quelques ajustements stratégiques sur l’allocation de leurs capitaux lors de leurs décisions d’investissements.

1.    Le Crédit Impôt Recherche (CIR) La première de ces deux niches est le CIR. Cette aide fiscale a été mise en place en 2008 et permet d’inciter les entreprises à localiser leurs efforts de recherches et développement sur le sol français. L’idée sous-jacente est de (re)localier en France les métiers techniques à haute valeur ajoutée, et donc à salaires de tranches supérieurs, liés à la recherche fondamentale. Selon la Banque Publique d’Investissement – anciennement OSEO -, « le taux du CIR accordé aux entreprises est de : – 30 % des dépenses de R&D pour une première tranche jusqu’à 100 millions d’euros ; –  5 % des dépenses de R&D au-delà de ce seuil de 100 millions d’euros. L’entreprise entrant pour la première fois dans le dispositif bénéficie d’un taux de 40 % la première année, puis de 35 % la 2e année (sous réserve qu’elle réalise des travaux de R&D pour la première fois, ou à l’expiration d’une période de cinq années consécutives au titre desquelles elle n’a pas bénéficié du CIR, et à condition qu’il n’existe aucun lien de dépendance entre elle et une autre entreprise ayant bénéficié du CIR au cours de la même période de cinq années). »

2.    Le Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE) Suite au rapport au premier ministre du Commissaire Général à l’investissement, Louis Gallois, du 12 novembre 2012 intitulé « Pacte pour la compétitivité de l’industrie française » (et que nous vous conseillons de lire, via le lien ici), le gouvernement a mis en place un nouveau crédit d’impôt entré en vigueur le 1er janvier 2013. Le but de cette nouvelle aide fiscale est de diminuer le coût du travail. En effet, ce nouveau crédit d’impôt permet de réduire sa douloureuse fiscale par l’octroi d’une somme équivalente 4 % de la masse salariale pour 2013, hors salaires supérieurs à 2,5 fois le SMIC (1 430,22 EUR par mois au 1er janvier 2013). Et à partir de 2014, ce taux est porté à 6 % de la masse salariale. Cette nouveauté fiscale devrait motiver les entreprises à maintenir l’emploi moins qualifié en France, voire à le développer.

La preuve par l’exemple

Toutes choses égales par ailleurs, nous allons nous projeter à travers un exemple théorique de l’économie d’impôts d’une entreprise fiscalement domiciliée en France, dont les caractéristiques sont les suivantes : – une entreprise avec un CA de 100 M EUR de CA – avec une croissance de son activité en moyenne de 3% par an – une marge opérationnelle de 8% – un taux d’imposition (IS), avant réductions potentielles, de 33,33% – qui emploie 500 salariés – sur les 500 salariés, 450 salariés sont éligibles (salaires < 2 500 EUR par mois) avec un salaire moyen mensuel de 2 000 EUR par mois – dont les effectifs croissent de 2% chaque année – et avec des dépenses en R&D pure qui représentent 2% du CA.

Phase 1 : Réduction liée au CIR

fisc1

Sur 10 ans, l’IS avant réduction ressort à 30,6 M EUR. Après réduction liée au CIS, l’IS payée ressort à 22,4 M EUR, soit une réduction de 8,1 M EUR.

Phase 2 : Réduction liée au CICE

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Sur 10 ans, après réduction liée au CICE, l’IS payée ressort à 23,7 M EUR, soit une réduction de 6,9 M EUR.

Phase 2 : Double impact CIR et CICE

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Sur 10 ans, après réduction liée au CIR et au CICE, l’IS payée ressort à 15,6 M EUR, soit une réduction de 15,0 M EUR et un taux d’IS compris sur la période inférieur à 18%.

impôts sur action

Conclusion

Les mauvaises langues pourront prétendre que ce ne sont que des données théoriques et que des inspecteurs du Ministère des Finances auront vite fait de débarquer au sein de l’entreprise pour la redresser, c’est-à-dire remettre en cause ces réductions importantes et remettre la société dans le droit chemin. Il faut comprendre par-là, se rapprocher du taux classique de 33,33% (38% en 2014 pour les entreprises dont le CA est supérieur à 250 M EUR, selon le projet de Loi de Finances 2014). Laissons le bénéfice du doute à ces deux crédits fiscaux qui doivent profiter à plein aux entreprises qui emploient du personnel qualifié (R&D) comme peu qualifié (CICE). La cible qui semble se dessiner derrière ces cadeaux fiscaux est l’entreprise industrielle innovante qui emploie une main-d’œuvre importante plutôt peu qualifiée. Dans notre exemple, c’est une douloureuse qui peut, théoriquement, être réduite par deux. Ce sont autant de millions d’euros qui peuvent être réinvestis dans l’appareil productif, utilisée pour la croissance (interne comme externe), assurer la pérennité du tissu industriel, et… profiter aux actionnaires. Bref, plutôt des bonnes nouvelles pour les entreprises de notre portefeuille, qui, si elles sont peu concernées par le CIR, devraient par contre profiter à plein dès l’exercice 2013 du CICE. Une affaire que nous ne manquerons pas de suivre de près.

Flash-back estival (3e épisode)

En cette période de douceur estivale, l’équipe des daubasses prend un peu de repos bien mérité.gagner de l'argent en dormant

Certes, entre barbecue et farniente, nous poursuivons notre traque incessante des plus belles daubasses.

Pour la partie rédactionnelle du blog, nous avons plongé en apnée dans nos archives afin de vous proposer, cher( e) lecteur(trice), quelques anciens éditos de notre lettre mensuelle tels que nos abonnés ont pu les découvrir à l’époque.

Aujourd’hui, Nous vous proposons un petit « flash-back » au travers de l’édito de notre lettre de septembre 2011.

Souvenez-vous : c’était il y a seulement deux ans.  A l’époque, la crise de l’euro faisait rage et le CAC avait presqu’atteint un point bas et se situait près de 1 000 points sous son niveau actuel.

Des affaires en or ? …

Dans notre précédente lettre, nous avions souligné l’importance des liquidités détenues par les sociétés cotées.

Nous avions écrit, entre autres élucubrations, ceci : « l’augmentation de l’endettement des pouvoirs publics a permis… la diminution de l’endettement des particuliers et la constitution de grosses cagnottes dans les entreprises, grosses cagnottes qui, tôt ou tard, seront réinjectées sur les marchés des capitaux que ce soit par le rachat de concurrents ou d’actions propres, la distribution de plantureux dividendes ou… tout simplement, pour rembourser des dettes. »

Et peu après, nous apprenions, en vrac, une offre de rachat de Transatlantic par Berkshire Hataway ainsi que la souscription par le conglomérat de l’oracle d’Omaha à des actions préférentielles de Bank Of America, mais aussi le rachat de Cable Operation Insight Communication par Time Warner et celui de Aker Drilling par Transocean. Enfin, last but not least, Google dénouait les cordons de sa plantureuse bourse pour s’offrir Motorola (on avait presque oublié qu’elle existait encore celle-là).

Et dans un autre style, plus près de chez nous, nous avons remarqué des rachats d’actions importants dont le plus impressionnant est celui de Bouygues qui rachète 11 % de son propre capital.

Ami(e) lecteur(trice), nous n’avons pas l’intention de mettre en avant notre extraordinaire don divinatoire. D’ailleurs, pour tout vous avouer, la survenue de ces évènements ne nous a été d’aucune utilité. Mais ils mettent deux points en exergue : d’une part, les sociétés cotées détiennent bien d’abondantes liquidités (mais cela, nous le savions déjà) et, surtout, d’autre part, nous pensons que si les directions des sociétés acquéreuses déposent des petits pactoles sur la table des négociations pour ajouter des petits bouts d’entreprises à leurs propres entreprises, ce n’est certainement pas parce qu’elles les trouvent chèrement valorisées. Il est d’ailleurs symptomatique de constater que ces opérations se font, pour la plupart, en monnaie sonnante et trébuchante et non, comme c’est souvent le cas en période de marché « euphorique », par échange d’actions.

Bien sûr, vous nous connaissez, cher(e) lecteur(trice) : nous n’allons pas vous annoncer que nous avons touché un point bas ou que le marché ne peut que monter. Non, le marché peut descendre très bas lorsqu’il souffre de maniaco-dépression aiguë mais nous continuons à penser que sur le long terme, des actions de sociétés financièrement solides et achetées en solde constituent le meilleur des placements.

Et c’est ce que nous continuons à faire, que ce soit pour le portefeuille du club (nous sommes malheureusement « full invested » pour l’instant) ou au sein de nos portefeuilles personnels pour lesquels nous avons effectué quelques emplettes : ainsi, nous sommes retournés vers une vieille connaissance active dans la promotion immobilière (dont vous trouverez l’analyse en page 21). Certains d’entre nous ont également acheté une autre société, une réelle daubasse présentant un rapport risque/rendement qui nous paraît vraiment intéressant (dont vous trouverez l’analyse en page 25). Ces deux sociétés sont, cerise sur le gâteau pour nos abonnés français, éligibles au PEA.

investir dans les mines d'or

 

Enfin, nous avons investi sur l’or… ou plutôt sur des sociétés profitant de la hausse de l’or.

Disons de suite pour rassurer nos abonnés que nous n’avons pas succombé à la mode « goldique » … bien loin de là. Les sociétés sur lesquelles nous avons investi sont d’authentiques daubasses et, bien plus que leur secteur d’activité, c’est le prix d’aubaine auquel elles sont proposées qui nous intéresse.

 

 

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Flash Back estival (2e épisode)

trève boursière

En cette période de douceur estivale, l’équipe des daubasses prend un peu de repos bien mérité.

Certes, entre barbecue et farniente, nous poursuivons notre traque incessante des plus belles daubasses.

Pour la partie rédactionnelle du blog, nous avons plongé en apnée dans nos archives afin de vous proposer, cher( e) lecteur(trice), quelques anciens éditos de notre lettre mensuelle tels que nos abonnés ont pu les découvrir à l’époque.

Aujourd’hui, après l’édito de notre lettre de juin 2011 que nous vous présentions la semaine dernière, c’est au travers de  celui de début août 2011 que nous vous proposons un petit « flash-back ».  Souvenez-vous … deux ans déjà : à l’époque, la crise de la zone euro faisait rage, le CAC avait perdu plus de 20 % en un peu plus de 3 mois et, par-dessus le marché, à la crise des « pays périphériques » de la zone euro se couplait une crise « du plafond de la dette aux USA ».  Bref, on ne semblait pas « sorti de l’auberge ».

 

Enfin!

Il était temps. La hausse métronomique des marchés depuis mars 2009 commençait à nous exaspérer dans l’Equipe des Daubasses.

Heureusement, le « je te tiens par la barbichette » joué par Barack Obama et les républicains, ainsi que la belle solidarité européenne qui consiste à endetter tout le monde… pour remédier à l’endettement des pays du club Med, sont venus mettre un peu d’ambiance dans les salles de trading. Sans oublier l’abaissement du rating de la dette US survenue vendredi dernier et qui en a surpris plus d’un.

plafond de la dette us

Certes, à l’heure où nous écrivons ces lignes, ce n’est pas encore les soldes mais nous espérons dans les semaines qui viennent pouvoir découvrir de nouvelles opportunités. L’un de nos abonnés nous a d’ailleurs soufflé une idée dans l’oreille qui semble bien attrayante et sur laquelle nous reviendrons dans une prochaine lettre après analyse approfondie. Ben oui, on est comme ça chez les Daubasses : si nous copions une idée sur l’un de nos petits camarades, nous n’hésitons pas à le dire.

En attendant, nous avons fait nos emplettes ces derniers jours : après les achats du mois écoulés dont nous vous avions fait part, le portefeuille du club est « full invested ». Et si la chute continuait ? Pas de panique cher abonné, si les super z’opportunités que nous avons connues fin 2008 venaient à se représenter, nous procéderions sans tarder à une augmentation de capital afin de garnir notre gibecière de belles daubasses grasses et dodues.

Pour notre part, ce qui nous impressionne sur le marché actuel, ce n’est pas une quelconque considération macro-économique dont vous savez qu’en tant que « liquidités dans les entreprisesdaubassiens convaincus » nous ne nous soucions guère mais bien la quantité de cash détenus généralement par les entreprises cotées. Nous avons ainsi appris qu’entre 2002 et 2010, la part de cash dans le total du bilan des entreprises américaines a presque doublé, passant de 4 à 7,5 % (source : lettre Vernimmen avril 2011) et quand on voit le cash détenu par les grandes technos, il y a de quoi être impressionné. Par exemple, le cash détenu par Apple est supérieur à la capitalisation boursière de Renault et Peugeot cumulée. Quant à Microsoft (quand donc vont-ils acheter Nokia ceux-là ?), c’est carrément BNP Paribas qu’ils pourraient s’offrir avec le solde de leur compte en banque.

Ainsi donc, si la plupart des états situés de part et d’autre de l’Atlantique sont exsangues, il n’en va pas de même pour un grand nombre de sociétés qui ont accumulé pas mal de cash depuis la crise de 2007-2008 en même temps qu’elles ont restructuré et optimalisé leurs activités.

Parmi nos sociétés, et dans une moindre mesure évidemment, il existe pas mal de belles tirelires également : 9 des sociétés de notre portefeuille disposent de liquidités suffisantes pour couvrir l’entièreté de leur passif, dettes d’exploitation incluses.

Tout ceci pour dire, cher abonné, que si l’environnement macro-économique que nous connaissons pour l’instant aura bel et bien un impact sur la marche générale des affaires, nous pensons aussi que tout n’est pas noir et, par un subtil phénomène de vases communicants, nous ne pouvons que constater que l’augmentation de l’endettement des pouvoirs publics a permis… la diminution de l’endettement des particuliers et la constitution de grosses cagnottes dans les entreprises, grosses cagnottes qui, tôt ou tard, seront réinjectées sur les marchés des capitaux que ce soit par le rachat de concurrents ou d’actions propres, la distribution de plantureux dividendes ou… tout simplement, pour rembourser des dettes.

Bref, pour paraphraser Jean Lefèbvre : « oui la situation est grave mais pas désespérée » et contrairement à Nouriel « Appocalypse » Roubini, nous osons dire : « non, nous n’allons pas tous mourir… du moins pas tout de suite »…

crise de l'euro