Dans la philosophie chinoise, le Yin et le Yang sont des compléments et des symboles utilisés dans tous les aspects de la vie. On pourrait aussi parler de la Belle et la Bête, du bon et du méchant, du gentil policer et du méchant voleur, de l’optimiste rêveur et du pessimiste casseur d’ambiance, …
Bref, nous allons reprendre 10 daubasses ci-dessous (sociétés et détails masqués par des « (…) » – tout est dévoilé dans la dernière Lettre Mensuelle), en jouant à tour de rôle l’optimiste béat et le pessimiste qui voit tout en noir. Les membres de l’équipe ont tour à tour proposé une action issue du portefeuille en avançant des arguments plus ou moins objectifs, puis ont répondu de façon très négative à l’argumentaire avancé par un autre membre !
Le but de l’exercice est de montrer qu’il est (presque) toujours possible de trouver des bons éléments quand on analyse une société, ainsi que des points noirs importants… Ce sont ces perceptions différentes qui expliquent les volatilités parfois extrêmes et qui permettent des points d’entrée et de sorties sur les marchés boursiers. Comme les avis divergent, il n’est pas aisé de prendre une décision sereine pour l’investisseur. Le mieux étant, selon nous, de ne se fier qu’aux données financières (et plus précisément le bilan) pour faire fi de tout jugement subjectif. Et, bien sûr, ne pas oublier de diversifier.
Bonne lecture !
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Daubasse n° 1 (net estate)
Positif : du pragmatisme suisse. C’est la dernière valeur suisse en portefeuille qui n’a pas encore baggé ! Un petit effort… Le gros point positif, c’est son immobilier qui représente plus de 500 CHF par action. La société est valorisé moins de 7x ses bénéfices. Bref, une décote d’actifs et rentable en plus. Ajoutons à cela de belles prévisions 2018, que demandez de plus ?
Négatif : Pragmatisme suisse ou pas, quand on regarde la moyenne sur 5 ans de la rentabilité des fonds propre (ROE), on constate que c’est négatif. J’ai donc l’impression que l’on ne peut pas avancer de manière objective un quelconque pragmatisme de la part de cette direction soit-elle Suisse. Prenons un autre paramètre : le chiffre d’affaire sur 5 ans période 2012 -2016… Il est en recul de -35% et cerise sur le gâteau le cash net dégagé sur la même période est aussi en négatif… quand vous dites donc que c’est valorisé à 7x les bénéfices, vous vous contentez finalement d’une seul année. Permettez- moi de juger les points positifs que vous avancez largement insuffisants pour investir sur une société comme XXX !
Daubasse n° 2 (net-net)
Positif : une société chinoise de Taiwan. Le fait qu’elle soit une triple-net en 2018 me semble surréaliste. A l’époque du « pain et des jeux » pour le plus grand nombre possible, le business de la société est quand même une tornade potentielle à plus-values… Sa santé économique a toujours été solide car elle dispose d’un matelas de cash qui par rapport à sa taille la place dans la catégorie « des rois du matelas ». Elle représente donc à mes yeux une des asymétries les plus importantes de notre portefeuille car cela peut continuer à aller clopin-clopant pendant plusieurs années, aligner des petites pertes ou des petits gains ne remettra pas en cause la solidité du bilan. En attendant le jeu qui va se vendre dans toutes l’Asie, voire le monde. Si cela n’arrive pas, il n’y a pas grand chose à perdre. Si cela se produit, la fusée grimpera jusqu’au ciel de la planète Mars en nous laissant quelques dollars en souvenir. Comment d’autres n’y ont pas pensé ? Je pense que le marché n’a toujours pas fait la différence entre la Chine continentale communiste et la Chine insulaire capitaliste et met toujours ces deux choses différentes dans le même panier.
Négatif : Heu, nous parlons bien de la même société ? Cette obscure société qui a eu pendant des années un site internet préhistorique ? Oui, ok, la société est cotée en bourse, mais avec à peine quelques milliers d’actions échangées par jour ? Bonjour le risque de liquidités…
Je lis « petites pertes », mais quand je regarde l’historique à 5 ans, je vois que les fonds propres ont été divisés par 2. Bel exploit ! Je n’arrive même pas à remonter au dernier exercice rentable !
On ajoute le fait que ce soit une société chinoise cotée sur le Nasdaq et la coupe est pleine. Ciao.
Daubasse n° 3 (net estate)
Positif : pas besoin d’écrire un roman, tellement les arguments sont évidents. Cette belle société industrielle canadienne investit massivement depuis des années et s’est construit un actif qui génère des bénéfices en forte croissance. J’adore le côté industriel géré en bon père de famille. La société a fêté ses 100 ans d’existences l’année dernière. Les plus pour les investisseurs sont les mêmes que la daubasse n° 1, à savoir : décote sur actifs tangibles + bénéfices en croissance. Ce serait dommage de passer à côté.
Négatif : C’est, me semble-t-il, un peu mieux que votre daubasse n° 1, mais avouons que cela semble poussif… Un marge opérationnelle moyenne sur 5 ans (2013-2017) d’à peine 5% pour un fabricant de (…), ne me semble pas terrible, c’est juste dans la moyenne du secteur. J’ai un faible pour les leaders du marché… D’autant plus que vous annoncez que la société a 100 ans d’existence! La société a fait croitre ses capitaux propres de 39% sur la période (2013-2017), dans une période de redressement économique fort, c’est plutôt faible à mon avis. Dernier point dérangeant, je vois que l’endettement total auquel vous êtes si attaché a presque doublé sur ces 5 ans, passant de (…) sur l’année 2017. N’est-ce pas dangereux ? Pour vous dire mon impression à chaud, je ne pense pas qu’un investisseur peut gagner beaucoup d’argent avec ce genre d’actions de société poussive.
Daubasse n° 4 (net estate)
Positif : c’est la seconde société la plus ancienne du portefeuille, achetée le 11 novembre 2009. J’adore me rappeler le fait que nous nous sommes fait moquer en investissant sur ce genre de société par des amis investisseurs, voire des lecteurs sceptiques de notre blog, qui y voyaient surtout un business ringard sans espoir et des pertes avenir inéluctables sur ce genre d’investissement insensé… Nous avions beau leur parler du patrimoine immobilier en plein centre ville de XXX, rien n’y changeait. 56% de plus-value pour le moment en 10 ans (sans prise en compte des dividendes) n’est certes pas une réussite éclatante. Mais cette histoire où une forte asymétrie était aussi présente, n’est pas encore terminée. D’autant plus que la société élargit son business à la photographie digitale en 2014 et est donc capable d’évoluer. Le potentiel reste important avec +182% par rapport à sa valeur d’actif net tangible. La perte nous semble difficile à ce stade, en moins de plusieurs concours de circonstance en notre défaveur. Et le bagger est toujours possible ! C’est amusant de se rappeler que les actifs tangibles, soit les éléments les plus solides du bilan d’une société, ne présentaient pas le moindre intérêt pour pas mal d’investisseurs dans une période chaotique comme en 2009.
Négatif : +56% en 10 ans… est-ce digne d’un investissement boursier ? Une activité pourrie pour un titre pourri : pas de flottant, une décote qui existe toujours 10 ans après l’achat et aucun catalyseur en vue. Cette action présente tous les symptômes de la décote perpétuelle. Revenez me voir dans 30 ans, quand vous aurez réalisé un gain appréciable !
Daubasse n° 5 (net estate)
Positif : cette daubasse, ou comment acquérir de l’immobilier canadien et américain, à la moitié de sa valeur marchande. Et pour patienter – en attendant que le marché se réveille -, un bon dividende est distribué trimestriellement. La force tranquille en fonds de portefeuille qui pourrait exploser avec son activité de promotion immobilière si les terrains en stocks flambent avec par exemple une envolée des cours du pétrole (terres riches dans la région d’intervention de la société). Cette action est un moyen de spéculer « sereinement » sur de l’immobilier et indirectement sur les cours de l’or noir !
Négatif : Vous parlez d’emblée de valeur marchande qui serait proposée à moitié prix par le marché, mais ne doit-on pas s’interroger d’abord sur le problème que rencontre cette société ? Car sur 5 ans, ses profits nets sont passés de ont été divisés par presque x3 (2013-2017 = recul de -62%) … Quand on suit un peu le marché canadien et que l’on prend un tracker immobilier représentatif, comme le Vanguard FTSE Canadian REIT, on se rend compte que le cours est passé du 1er janvier 2013 à aujourd’hui de 25 CAD à 30 CAD, soit une progression de +20%, non inclus la distribution de dividendes. Tandis que le cours de cette daubasse est en retrait sur la même période de -11% et également, non inclus la distribution de dividendes, et donc une distance à la louche de 30% inférieure à son marché de référence, le Canada. Je dois vous avouer que je ne vois pas très bien le rapport avec le pétrole, et encore moins, l’envolée du cours qui lui serait bénéfique tant il semble clair que cette société a sans doute un problème interne, ayant relégué ses actions loin derrière le marché canadien. Ici nous ne parlons pas d’être dans la moyenne du secteur, mais loin derrière ! Élucider le problème me semble être une priorité pour tout investisseur conséquent et rationnel.
Daubasse n° 6 (net estate)
Positif : C’est un fabriquant de logements légers pour un secteur spécialisé. Tout d’abord, j’apprécie le fait d’acheter des actifs dépendants d’un autre secteur, ici, le (…). J’ai l’impression que l’on complique le jeu de piste… pour une majorité d’investisseurs, voire que l’on joue indirectement un actif par la bande, comme au billard. Et puis, on investit sur des actifs tangibles même si c’est étroitement lié à une matière première extrêmement volatile. La seule chose que nous avons appris sur le management avec les daubasses est, qu’au fil du temps, avant que les paroles se matérialisent en chiffres, ce sont les annonces de changement rapide dès les premières difficultés qui se matérialisent d’abord en actes réels. Cela ne garantit rien, mais on est certains que le management a pris réellement les choses en mains pour résoudre le ou les problèmes. Et ce fut le cas du management de cette daubasse qui a réduit ses installations aux USA pour ce concentrer au Canada, et réalisé des économies d’échelle, et qui a aussi réussit à se garantir une activité dans l’extraction de (…) avant que l’horizon ne se dégage. L’autre exemple qui me vient en mémoire est le management de PV Crystalox qui a fermé directement son usine de production de panneaux solaires en Angleterre dès la crise du secteur déclarée.
Négatif : cette daubasse, ce sont des constructions « temporaires »… on a connu plus tangibles comme actifs ! Pas de prospection dans leur zone d’intervention et ces actifs valent le plastique qui les composent. On peut dire que la seule belle opération, c’est celle de l’ex société mère qui a réalisé ce spin-off, mis en bourse en 2014. Une réussite niveau timing et valorisation pour la société mère, qui a sorti avec succès des actifs pourris de son périmètre ! Les plus optimistes pourront regarder les marges opérationnelles, négatives depuis 2014 (un hasard ?), avec des pertes cumulées depuis l’introduction en bourse de plusieurs millions USD, pas mal pour une société qui a une capitalisation boursière d’environ 500 M USD. Bref, jouer un secteur par la bande ou pas, je préfère directement acheter des actions d’un leader comme Total.
Daubasse n° 7 (net estate)
Positif : Qui ne serait pas tenter d’acheter de l’immobilier plus ou moins bien caché dans une activité d’électronique en perte de vitesse ? Hong Kong et Shenzen, deux métropoles immenses où le prix de l’immobilier atteint des niveaux stratosphériques. Et où notre société développe des bureaux, des logements et autres centres commerciaux sur ses anciens terrains industriels. Plutôt malin et en dehors des radars. A terme, ce revirement d’orientation stratégique vers une foncière va payer de plus en plus. Les premiers loyers ont déjà été versés. Un peu de patience et le papillon va sortir de son cocon.
Négatif : Soyons bon joueur : les chiffres sont cette fois pas mal, hormis le chiffre d’affaires en recul de -44% sur la période 2013-2017. Les profits sont en belle progression depuis 2015. 21%-18% et 15% de rentabilité sur les fond propres en 2015-16-17 ne sont pas mal du tout également, et la société n’est valorisée qu’a 7x ses profits. En gros c’est une belle histoire, mais j’ai observé à de nombreuses reprises que toutes les sociétés chinoises cotées sur des bourses occidentales présentent de belles histoires… Bien sûr, vous faites la différence entre Chine continentale et insulaire. Mais je dois vous avouer que j’aurais préféré avoir de mauvais chiffres sous les yeux pour plus d’authenticité ! Pourquoi est-ce qu’une RAPP US (ou européenne) a toujours quelques problèmes qui émergent lors de l’analyse et un avenir souvent sans grandes perspectives, alors que ces sociétés chinoises ont de beaux chiffres et de belles perspectives ?
Permettez-moi donc d’avoir de gros doutes sur cette daubasse c et aucune envie d’y investir.
Daubasse n° 8 (net estate)
Positif : J’ai toujours du mal à comprendre comment une société suisse est arrivée dans le container à daubasses. C’est bien sûr l’image positive de la Suisse au niveau gestion et organisation qui fait penser que ce n’est pas possible. Ce qui est quand même récurent avec les Daubasses suisses que nous avons eu en portefeuille, c’est que c’est souvent la conjoncture internationale voire un élément externe à la société qui crée le problème. Comme précédemment avec la daubasse n°6 … Le management n’est pas en reste et prend les choses en mains en expliquant clairement le problème et en s’attelant à le résoudre. Au-delà de l’analyse de chiffres, je me rappelle aussi qu’il était déjà palpable, donc aussi chiffré, que la partie chimie allait prendre le pas ou pouvait prendre le pas sur la partie papier qui était la plus importante du chiffre d’affaires. Ce genre de découverte qui est un élément mineur au moment de l’achat reste quand même un point positif dans l’univers sombre de la Daubasse, où il est plus courant de voir des managements qui se croisent les bras en répétant que c’est la faute à tout ce qui bouge, s’ils en sont arrivés là. Et où il n’y a pas le moindre soupçon d’indice qui vous permet d’entrevoir des jours meilleurs pour la société. Bien sûr, quand ce que vous avez détecté au moment de l’achat se réalise petit à petit, on oublie rien de ce détail insignifiant.
Négatif : Alors là, sacré coup de chance les daubasses ! Et puis, maintenant que le cours a progressé de +135%, facile de parler de votre bel investissement…
Daubasse n° 9 (net estate)
Positif : Avoir un portefeuille un vendeur de chaussettes qui sort sur 1 an une performance supérieure à certaines belles valeurs technologiques américaines, avec un programme de rachat d’actions opportuniste, est très créateur de valeur pour les actionnaires qui restent, en désintéressant les actionnaires les moins motivés. Ça fait rêver, non ? Si, si, c’est très plaisant. Surtout quand les médias et autres « spécialistes » rabâchent à longueur de journée que le secteur est fini avec Amazon… Et bien non. Quand on a des actifs de qualité et qu’on sait bien les gérer, une société familiale résiste, tel un Astérix du retail US face à l’envahisseur internet.
Négatif : Là où vous voyez un Astérix résistant à l’envahisseur internet, j’y vois plutôt un Astérix à l’encéphalogramme plat avec un CA stagnant qui tourne autour de quelques Md USD depuis 5 ans… Cet Astérix est proche du « KO ! » vu ses profits qui ont baissé de 30% sur 5 ans et sa marge opérationnelle qui a été divisée par deux sur la même période. Et même chose pour la rentabilité des capitaux propres … Et ce qui me choque le plus de la part de cette brillante direction, c’est qu’elle distribue un dividende qui lui, a augmenté de 30% sur 5 ans. C’est le côté familiale certainement… Donc, au lieu de garder les profits, et tenter de trouver des opportunités d’investissement – en un mot se bouger un peu -, la famille a choisi la facilité, s’assoir par terre groggy et distribuer des dividendes pour masquer son incapacité managériale au regard des actionnaires. Ce qui revient à attendre sereinement le coup de poing final de Jeff Bezos.
L’envahisseur internet n’a pas trop de soucis à se faire avec ce type de concurrent. Parler d’un cours qui a bien monté me surprend et s’en réjouir en parlant des sociétés technos qui ont triplées, voire quadruplées, leur cours en 5 ans, et plus encore… Ce type d’Astérix ne m’intéresse pas, je préfère chercher les Lucky Luke familiaux qui flinguent vraiment.
Daubasse n° 10 (net estate)
Positif : J’adore la distorsion qu’il peut y avoir entre la perception de son business « ringard » : sac de dame, gant et veste en cuir lié à la mode et le côté technologique inclus dans son travail du cuir. Sans oublier les nombreux secteurs où la société vend son cuir : l’armée, la police, les pompiers, où le cuir résiste aux abrasions importantes, voire est ignifugé, et aussi l’aviation, le sport automobile (F1), … Acheté des actifs tangibles à bon prix de sociétés peu sexy ou qui apparaissent peu sexy, m’a toujours semblé être un avantage important dans ce monde de brutes qu’est le marché boursier. Quand le business que l’on résume avec le « cuir » peut sembler peu diversifié, la surprise de constater qu’il est bien diversifié et que ce n’est pas demain que l’on va s’arrêter de jouer au polo ou de faire du sport, on a l’impression d’un plus indéniable qui, à terme, va aider à résoudre les problème d’une Daubasse et nous faire gagner de l’argent. Tout en gardant à l’esprit que ce n’est pas ce qui nous intéresse prioritairement et ce n’est en aucun cas sur ces idées positives et hautement subjectives que nous basons nos décisions d’investir, mais sur un process chiffré et précis.
Négatif : Je me pince pour vérifier que vous parlez de la société que j’ai identifié : XXX, ce maroquinier coté à (…) et avec des usines en Afrique ! Vous achetez une décote d’actifs, sur des usines localisées au Kenya ! Plutôt étonnant…
A mon avis, vous n’avez en plus pas regardé deux choses importantes. Tout d’abord la liquidité, qui range les actions de cette société dans les « pas touches » et, ensuite, le retour aux actionnaires : inexistant. Aucune trace de dividende sur mes radars. Pire, la dilution est là avec des augmentations de capital à répétition, le nombre d’actions a augmenté de +58% en 5 ans pour un cours qui a été divisé par deux. De la belle destruction de valeur actionnariale. Tous les ingrédients d’une recette indigeste semble réunis !
Vous êtes-vous reconnu dans l’adoration ou parfois la plus grande méfiance dans l’un des titres que nous avons présenté ?
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Nous avons lancé le vendredi 13 avril un concours via notre compte Twitter pour gagner 3 ans d’abonnement (ou de prolongation d’abonnement) : https://twitter.com/les_Daubasses/status/984758949378437120
Pour gagner, il fallait nous envoyer par mail, un service comparable aux daubasses qui répondait aux critères suivants :
1) moins cher (119€ TTC / an)
2) +10 ans d’existence
3) performance > x10 (+900%)
4) une mise à disposition de l’intégralité des transactions boursières
Malheureusement, nous n’avons reçu aucune proposition répondant à ces critères et donc aucun gagnant… enfin, si :
=> ce sont finalement nos abonnés qui sont les gagnants avec l’offre actuelle !
Si vous ne nous suivez pas encore sur Twitter, franchissez le pas. Il suffit de cliquer sur l’image ci-dessous, ou via ce lien : compte Twitter des Daubasses
La barre des 300 followers a été franchie sur le mois de mai, ce qui a permis à un twittos sélectionné au hasard gagnera 1 an d’abonnement (ou de prolongation). C’est donc Cyril qui a gagné 1 an d’abonnement.
L’opération sera répétée au franchissement des 400 followers !